Les meilleures aires de camping-car de Royan

Sachez qu’outre y faire trempette et bronzette, vous pouvez aussi pratiquer d’autres activités ludiques sur les lieux comme par exemple ses 5 activités :

• Notre-Dame de Royan : Notre-Dame de Royan est l’un des monuments historiques à visiter absolument en arrivant dans la ville de Royan.

Relativement récente, car inaugurée en 1958, elle a été construite en 3 ans par Guillaume Gillet et Marc Hébrard, les architectes qui ont collaboré avec des ingénieurs pour sa réalisation.

Considérée comme étant un chef-d’œuvre de l’architecture moderne, elle intègre de beaux vitraux à l’intérieur.

Quand l’ancienne église Notre-Dame de Royan qui se trouvait dans le centre-ville fut ravagée par les bombardements alliés en 1945, la commune a décidé de la remplacer par une autre plus grande.

Elle a ainsi conçu celle-ci suivant l’architecture des cathédrales gothiques, mais plus majestueuse. Érigée en béton armé, elle fait 45 m de long sur 22 m de large.

Sa voûte qui fait 6 cm d’épaisseur culmine à 35 m et son clocher à 60 m. Sa nef et son chœur supportent en outre jusqu’à 2 000 personnes.

• Le Musée de Royan : Le Musée de Royant vous apprend sur l’histoire de la ville depuis l’Antiquité jusqu’à la 2nde Guerre Mondiale. Il se trouve depuis 2004 dans l’ancien marché de Pontaillac qui a été expressément réhabilité à cet effet.

Il propose à ses visiteurs un parcours historique chronologique qui facilite leurs visites. On y expose aussi une grande collection de mobilier des années 50 que le musée a acquis en 2008.

Des expositions temporaires y sont régulièrement organisées afin de faire revivre l’histoire de la commune et faire connaître les divers aspects de celle-ci, dont son histoire, ses architectures, sa littérature, etc.

• Temple protestant de Saint-Sulpice-de-Royan : Inscrit également à la liste de monuments historiques de Royan, le Temple protestant de Saint-Sulpice-de-Royan intéresse aussi par sa forme rare octogonale et son architecture de style néo-roman.

En effet, il se distingue du classicisme habituel qu’on trouve dans les environnants alors qu’ayant été construit entre 1854 et 1855. Il tient cette différence de l’ingéniosité de l’architecte Léon Jossier, le même qui a été à l’origine des temples de Chaillevette et d’Etaules.

Sa construction a été décidée quand le temple inauguré en 1818 ne pouvait plus contenir les protestants locaux qui représentaient quand même 60 % de la population.

Actuellement, grâce à l’adjonction d’une tribune, il peut accueillir 450 personnes. Allez-y pour admirer son octogone fait de pierres de taille et de moellons ou son avant-corps rectangulaire qui fait office de porche d’entrée, surplombé par une tribune.

Sa majestueuse charpente apparente à huit demi-fermes rayonnantes en guise de couvrement vous surprendra sûrement.

• Le Puits de l’Auture : En matière de grands espaces où respirer de l’air pur tout en découvrant la faune et la flore locale, Royan est très gâtée par la nature.

Le puits de l’Auture en est un exemple que vous pouvez découvrir près du Sentier des Douaniers, à quelques centaines de mètres après la plage du Concié et des fameux carrelets.

Les vagues s’y engouffrent avec des grondements qu’on attribue à ceux des deux amoureux qui s’y sont noyés volontairement, car leurs familles refusaient leur mariage.

Si le puits lui-même peut être dangereux pour les enfants, la raison de ne pas les y laisser sans surveillance, l’intérêt du lieu tient dans la beauté de ses environnants.

En effet, vous pouvez vous y promener le long de la mer et regarder les carrelets alignés sur les rochers. Le lieu est accessible à tout moment et quelles que soient les marées.

Vous pouvez y prendre de belles photos en guise de souvenirs avec la mer comme toile de fond.

• Le Pont du Diable : Le Pont du Diable est un autre site naturel qui mérite d’être vu à Royan. C’est une formation rocheuse de calcaire naturel qui se situe sur une péninsule de la commune de Saint-Palais-sur-Mer, plus précisément, près de la conche du Platin.

Les roches de cette zone présentant des nombreuses lignes de taille, y furent extraites 300 pierres environ pour la construction du Phare de Cordouan.

Des carrelets avec lesquels pêcher des crustacés, des poissons et des coquillages y sont maintenant disposés pour le plus grand bonheur des pêcheurs et des touristes.

Selon une légende, un pêcheur perdu dans une violente tempête y aurait vendu son âme au diable pour qu’il lui sauve la vie. Sa barque ayant échoué sur les récifs à l’extrémité de la péninsule, le diable aurait construit le pont pour lui permettre d’atteindre la terre ferme, d’où son nom.